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[ Band 6 Brief 140: Humboldt an Caroline London, 27. Oktober 1818 ]
le zèle qui Vous anime pour Votre patrie et sur Votre attache- ment à Ma personne pour ne pas me persuader que Vous ne soyez prêt à entrer dans des modifications, sans insister sur Votre rappel instantané. Vous avez travaillé avec succès a plusieurs objets qui sont encore sur le tapis. Leur importance Me fait souhaiter que Vous les acheviez, et Je sais, que la Cour d’Angle- terre attache un grand prix à la continuation de Votre concur- rence a la question de la médiation entre l’Éspagne et ses co- lonies, à celle relative aux barbaresques, et aux arrangements entre le Danemark et la Suède. Tous ces objets vont être repris incessamment. En attendant on va s’occuper a Francfort des différences entre la Bavière et Bade. Le Grand Duc nous annonce de nouvelles propositions qu’on renverra aux Ministres des quatre puissances qui s’en sont occupés précédemment. Il faut esperer qu’on terminera cette fâcheuse affaire et que par conséquent on pourra mettre la dernière main a celle dont Vous avez été chargé. Vous Vous rendrez donc le plutôt possible a Francfort sur le Main et en passant par ici les premiers jours du mois prochain Vous pourrez y prendre Vos instructions et convenir avec le Chancelier d’Etat de Votre destination future. J’attendrai son rapport pour Vous faire connaître Ma détermination finale . . . Fréd. . . .« Damit kommen, alles durch einen Kurier, folgende Zeilen des Staatskanzlers. »J’espère, mon chèr H. que Vous ne serez pas mécontent de l’inclus, et envisageant la perspective de Vous voir bientôt ici, je me borne à peu de lignes, d’autant plus que j’ai beaucoup d’affaires sur les bras. Je me réjouis infiniment de Vous revoir. Vous trouverez Votre frère, qui accompagne le Roi a Paris mais sera de retour les premiers jours de Novembre. Tout a Vous. « Die Kabinettsorder und diese Zeilen sind vom 19. d. 354