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[ Band 6 Brief 140: Humboldt an Caroline London, 27. Oktober 1818 ]
Eine Stelle in einem Privatbrief Alexanders ist noch sehr wichtig: »Tes deux lettres ont été données au Roi. On t’a dépeint comme un homme cassant, difficile à vivre, voulant se retirer complètement. J’ai tout expliqué au Roi et ne l’ai pas trouvé irrité contre toi, quoiqu’on eût voulû me faire croire le con- traire. J’ai été traité très amicalement par le Chancellier et Bernstorff. La santé du premier est bien chancellante . . .« Dem König habe ich jetzt gar nicht geantwortet. Dem Staats- kanzler offiziell folgendes: »C’est avec une bien vive peine que j’ai vu qu’il est l’inten- tion du Roi que je revienne ici après avoir terminé les affaires dont Sa Majesté me fait la grâce de me charger a Francfort. J’aime à me flatter que V. A. voudra bien me prêter sa puis- sante intervention pour que Sa Majesté daigne me dispenser de la nécessité de faire le plus pénible sacrifice qu’elle pourrait m’imposer pour des affaires bien faiblement liées aux intérêts de la Prusse. Je me réserve d’adresser dès mon arrivée à Aix-la -Chapelle à Sa Majesté mes très-humbles instances à cet égard. « Privatim habe ich ihm folgendes geschrieben: »J’ai reçu les lignes par lesquelles Vous avez bien voulu accompagner les ordres du Roi. Je partirai le 30 et compte être chez Vous le 4 ou 5 Novembre. Je me réjouis infiniment de Vous revoir et de causer avec Vous, et je Vous remercie bien vivement de m’en avoir donné l’occasion. D’ailleurs je ne sau- rais Vous nier que je ne vois pas clair dans les ordres qui nie sont parvenus et qui ne sont guère une réponse à mes lettres. Je dois aller à Francfort pour la négociation de la Bavière avec Bade. Mais si, comme il paraît presque par la lettre du Roi, Vous n’avez pas vraiment déjà terminé cette affaire à Aix-la -Chapelle, comment les Ministres à Francfort réussiraient-ils à 355