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[ Band 6 Brief 130: Humboldt an Caroline London, 2. Oktober 1818 ]
ma profonde reconnaissance de l’espoir qu’Elle me fait la grâce de me donner de vouloir s’occuper à Aix-la-Chapelle de ma de- mande de rappel, et de la part qu’Elle daigne prendre à la santé de ma femme. Les nouvelles que j’en ai, continuent malheureusement a être peu satisfaisantes, mais elle doit être dans ce moment en route pour l’Allemagne. J ’ose me flatter que Votre Majesté aura daigné accueillir avec la même bienveillance dont je tiens tant de preuves précieuses de Sa part, le second placet que j’ai eu la liberté de lui addresser par le Prince de H. en date du 14 Sep- tembre et dont le but est uniquement de justifier ma demande aux yeux de Votre Majesté. Le bruit s’etant répandu que je désirais obtenir non pas seulement mon rappel du poste que j’occupe ici, mais ma retraite entière, il m’importait trop d’exposer et d’assurer a Votre Majesté que je n’ai point eu cette intention la, mais que je suis animé du zèle le plus ardent de me vouer à Son service aussi longtemps qu’Elle daignera vouloir m’y conserver, et de tâcher de répondre par la au moins en quelque façon aux marques multipliées de Sa bonté dont Elle m’a fait la grâce de me combler. Je suis etc.« Diesen Brief, der, wie Du siehst, keine Antwort von seiten des Königs bedarf, schicke ich durch die Post geradezu. Wie die große Gräfin *) von Bernstorffs Ernennung hörte, stelle Dir vor, fand sie gleich, daß einer ihrer beiden Brüder hätte die Stelle haben sollen. Einer nun ist ganz unfähig dazu, und der an- dere durch Einsamkeit auf dem Lande und Widersprechungsgeist so versauert, daß man auch nichts mit anfangen kann. Allein klar ist mir doch dabei geworden, daß es eine Menge Menschen bei uns geben mag, die meinen, daß ihre Väter, Brüder, Söhne und Vettern immer noch, als Einheimische, vorzuziehen gewesen wären. Es ist immer schlimm, eine solche Masse von Neid zu überwinden ——— *) Schlabrendorff. 330