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[ Band 6 Brief 84: Humboldt an Caroline London, 19. Mai 1818 ]
tout mon possible, pour conserver à Sa Majesté un serviteur de Votre mérite, de Vos talents et de Votre activité. Je conçois que Vous puissiez avoir de bonnes raisons pour vouloir quitter l’Angleterre et Vous rapprocher de Votre famille. Vous avez répugné au plan dont je Vous fis part l’année passée. Vous m’avez déclaré que Vous ne pouviez ni ne vouliez le pour- suivre, qu’à des conditions que j’ai dû croire inadmissibles. Mais n’y aurait-il pas moyen de Vous conserver, en Vous faisant avoir un poste qui répondit a Votre voeu actuel? Veuillez Vous expliquer là-dessus avec moi. G.[oltz]*) paraît vouloir retourner a son Maréchalat. F.[rancfort] Vous conviendrait-il? Le climat est tel que Vous le souhaitez. Ou bien préféreriez-Vous l’Italie, ou toute autre place, et comment arrangerions-nous cela? Je laisse Votre mémoire au Roi sur ma table jusqu’à ce que j’aye Votre réponse, et Vous embrasse de tout mon coeur. H. Keine Zeile, keine Silbe mehr. Drei Dinge werden Dir vor- züglich darin ausfallen. Erstlich keine Silbe von Dir, nicht das mindeste Zeichen der Teilnahme, was sich nur daraus erklären läßt, daß er, was ich von Deiner Gesundheit gesagt habe, bloß für einen Vorwand hält. Zweitens ebensowenig etwas über die Zusammen- kunft. Es ist mir jetzt gar nicht glaublich, daß ich dahin bestimmt bin. Drittens: da man mir gleich Italien und jeden (versteht sich Gesandten-) Posten anbietet, den ich nur immer möchte haben wollen, so zeigt man deutlich, daß einem nichts daran liegt, welchen Wirkungskreis oder ob ich überhaupt nur einen habe, sondern bloß, daß ich in Diensten bin, daß es nicht heißt, daß ich mich zurückziehe, und daß ich nicht en vue in Berlin und der nächsten Umgebung bin. Alles dies kann, glaube ich, niemand verkennen. ——— *) August Friedrich Ferdinand Graf v. der Goltz, geb. 1765, † 1832, Gesandter am Bundestag von 1816—1824, vor- und nachher Oberhofmarschall. 197